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En bordure ouest du bourg, le domaine de la Roque : le château fut construit au XVIIe, peut être même un peu avant. Il fut plus tard fortement remanié. Plusieurs métairies faisaient partie du domaine.
Les familles VALLETON DE BOISSIÈRE, DARNIGE, MEYNARDIE, PIOT, BARLAND et BUSQUETS en furent successivement les propriétaires.
Sur les côteaux dominant le bourg, le hameau de la Martigne
Ce village est très ancien et a successivement accueilli les familles VALLETON DE LA MARTIGNE, COULAUD puis FONTAYNE, les instituteurs de Liorac.
Le "vieux" Liorac
ce nom suggère un lieu qui aurait existé bien avant la construction du village actuel autour de l'église.
Les ruines du château du Repaire rendent cette hypothèse plausible : peut être les restes d'un château mérovingien comme à Douville ? Seuls des spécialistes pourront répondre un jour.
Ce village du Vieux Liorac comportait 3 métairies et une maison de maîtres : il y avait donc beaucoup de monde. Les familles GUILBERT DE LATOUR, MEYNARDIE puis POURQUERY y ont été successivement propriétaires au XIXe siècle.
1943-1944 la Résistance à Cendrieux, le maquis de Durestal :
le maquis des Sangliers du groupe Goldman dit MIREILLE, puis le groupe Diener dit ANCEL ont successivement occupé ce site.
Démographie et mortalité infantile à Liorac
Jusque vers 1860, Liorac avait environ 700 habitants. Puis la population a considérablement chuté : premier responsable l'exode rural,
mais aussi la guerre de 14, et de façon plus indirecte une énorme mortalité infantile qui condamnait un enfant sur trois.
De quoi mourrait-on à Liorac en 1853 ?Le maire de l'époque, F. BENEYS, a indiqué pendant plus d'un an les causes de décès sur les actes d'Etat Civil.
Il n'y avait pas de médecin à Liorac et en cas de maladie, les habitants faisaient appel à la religion, à des guérisseurs plus ou moins sorciers, et utilisaient des plantes curatives.
L'exemple du jardin médiéval de Plazac permet de les référencer.
1854-1856 Soldats de Liorac pendant la guerre de Crimée
Pendant le Second Empire, le pays a enchainé les guerres lointaines où les soldats mourraient plus souvent de maladies que sous le feu de l'ennemi :
ce fut le cas pour trois jeunes soldats de Liorac pendant la guerre de Crimée contre la Russie.
1944, VILLAGES MARTYRS en Dordogne :
■ Le contexte de l'occupation
La Dordogne fut un des plus important foyer de résistance en France avec le Vercors
et une terre d'accueil pour les Alsaciens réfugiés, qui comptaient de nombreux Juifs.
Ces deux caractéristiques ont attiré des troupes allemandes qui ont exercé une terrible répression à la fois envers les Résistants et les Juifs, mais aussi envers les populations civiles.
■ Les forces en présence en 1944 en Dordogne : les divisions allemandes accompagnées d'organismes français, Milice et GMR (unités de police organisées de façon paramilitaire, créées par le gouvernement de Vichy) et les Résistants.
■ La division BREHMER envoyée spécialement pour éradiquer la Résistance en Périgord, a causé la mort de centaines d'otages,
maquisards et civils, a été responsable de centaines de déportations, a pillé et incendié des centaines de maisons, parfois des villages entiers.
26-27 mars 1944 Brantôme, Ste Marie de Chignac et des villages proches.
31 mars 1944, Rouffignac en flammes.
■ La division SS blindée "DAS REICH" remonte vers la Normandie après le débarquement allié du 6 juin 1944 : à l'est du département, les résistants essaient de la retarder par tous les moyens, et en représailles plusieurs villages subissent des atrocités.
Le 8 juin 1944 : Groléjac, Carsac
Le 8 juin 1944 : Rouffillac de Carlux, un prélude à Oradour sur Glane.
le 10 juin 1944, Terrasson
■ La 11E PANZER DIVISION de la Wehrmacht et les villages martyrs de la Dordogne-Sud.
Le 11 juin 1944, Mussidan
Du 11 au 21 juin 1944, Mouleydier
Le 21 juin 1944, Mouleydier et Saint Germain et Mons
Le 21 juin 1944, Pressignac
Le 22 juin 1944, les troupes allemandes traversent Liorac pas de dégâts, mais les habitants ont eu peur !
Le 9 août 1944, Saint Julien de Crempse 17 otages civils y sont fusillés
et par vengeance 17 prisonniers allemands qui n'y étaient pour rien seront fusillés par des résistants un mois plus tard.
■ Du 19 au 21 août 1944, la libération de la Dordogne
Le 19 août 1944, Périgueux libéré
Le 21 août 1944, Bergerac libéré